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1042 résultat(s) recherche sur le mot-clé '�levage, agriculture, exploitation agricole, Sud Morvan'
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Titre : Détermination des conditions de viabilité des exploitations agricoles, spécialisées dans l'élevage allaitant, sur le territoire du Sud Morvan : Mémoire de fin d'études présenté en vue de l'obtention du diplôme d'ingénieur de l'Ecole Supérieure d'Agriculture d'Angers et du grade de mastaire Type de document : texte imprimé Auteurs : Etienne Rocheteau, Auteur Editeur : Angers : ESA (Angers) Année de publication : 2003 Importance : 85 p Mots-clés : élevage, agriculture, exploitation agricole, Sud Morvan Note de contenu :
Résumé de l'auteur : Situé au Sud de la Nièvre, le territoire du Sud Morvan (cantons de Luzy et Moulins-Engilbert) est au cœur du bassin charolais. L'agriculture est principalement orientée vers la production de bovins viande maigre destinée aux pays d'Europe du Sud. Dans un contexte d'évolution importante de l'agriculture marquée par la disparition des exploitations et des actifs agricoles au profit de l'agrandissement, la demande émane des professionnels agricoles du territoire, préoccupés par l'avenir de l'agriculture et du tissu rural.L'étude a pour objet de déterminer les facteurs de viabilité de ces petites exploitations et d'apporter des éléments de réflexion. Elle aborde, dans un premier temps, la viabilité à travers les résultats technico-économiques de 49 exploitations, sur deux années. D'une part, la compétence de l'éleveur et les performances du troupeau (mesurées par la marge brute/UGB) apparaissent comme les facteurs les plus explicatifs de la dispersion du revenu disponible. D'autre part, les éléments de structure des exploitations sont peu actifs sur la dispersion du revenu dans une gamme étroite de surface (50 à 120 ha). Enfin, les charges de structure et les annuités jouent un rôle pénalisant bien souvent du fait de performances insuffisantes. La marge brute dégagée ne permet alors pas d'y faire face. Dans un second temps, une approche plus qualitative (entretiens semi directifs de 15 éleveurs) a permis de mettre en avant les questions relatives à la main d'œuvre permanente non rémunérée.Celle-ci concerne finalement peu d'exploitations. Le revenu complémentaire du revenu agricole apparaît également peu déterminant. Enfin la qualité de vie, qui correspond aujourd'hui à une forte demande des agriculteurs, est tout à fait compabible, dans la majorité des cas, avec le travail demandé par ces petites structures.Bien que les situations des exploitations soient très hétérogènes, il est possible de conclure qu'un grand nombre de ces petites exploitations sont tout à fait viables.Détermination des conditions de viabilité des exploitations agricoles, spécialisées dans l'élevage allaitant, sur le territoire du Sud Morvan : Mémoire de fin d'études présenté en vue de l'obtention du diplôme d'ingénieur de l'Ecole Supérieure d'Agriculture d'Angers et du grade de mastaire [texte imprimé] / Etienne Rocheteau, Auteur . - Angers : ESA (Angers), 2003 . - 85 p.
Mots-clés : élevage, agriculture, exploitation agricole, Sud Morvan Note de contenu :
Résumé de l'auteur : Situé au Sud de la Nièvre, le territoire du Sud Morvan (cantons de Luzy et Moulins-Engilbert) est au cœur du bassin charolais. L'agriculture est principalement orientée vers la production de bovins viande maigre destinée aux pays d'Europe du Sud. Dans un contexte d'évolution importante de l'agriculture marquée par la disparition des exploitations et des actifs agricoles au profit de l'agrandissement, la demande émane des professionnels agricoles du territoire, préoccupés par l'avenir de l'agriculture et du tissu rural.L'étude a pour objet de déterminer les facteurs de viabilité de ces petites exploitations et d'apporter des éléments de réflexion. Elle aborde, dans un premier temps, la viabilité à travers les résultats technico-économiques de 49 exploitations, sur deux années. D'une part, la compétence de l'éleveur et les performances du troupeau (mesurées par la marge brute/UGB) apparaissent comme les facteurs les plus explicatifs de la dispersion du revenu disponible. D'autre part, les éléments de structure des exploitations sont peu actifs sur la dispersion du revenu dans une gamme étroite de surface (50 à 120 ha). Enfin, les charges de structure et les annuités jouent un rôle pénalisant bien souvent du fait de performances insuffisantes. La marge brute dégagée ne permet alors pas d'y faire face. Dans un second temps, une approche plus qualitative (entretiens semi directifs de 15 éleveurs) a permis de mettre en avant les questions relatives à la main d'œuvre permanente non rémunérée.Celle-ci concerne finalement peu d'exploitations. Le revenu complémentaire du revenu agricole apparaît également peu déterminant. Enfin la qualité de vie, qui correspond aujourd'hui à une forte demande des agriculteurs, est tout à fait compabible, dans la majorité des cas, avec le travail demandé par ces petites structures.Bien que les situations des exploitations soient très hétérogènes, il est possible de conclure qu'un grand nombre de ces petites exploitations sont tout à fait viables.Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 3443 636-01 ROC Etude Centre de documentation Adultes Disponible
Titre : Analyse des conséquences techniques et économiques de l'opération locale Morvan sur les exploitations. Mise en place d'un suivi (document annexe) Type de document : texte imprimé Auteurs : Fabrice Roux, Auteur Editeur : Paris : I.H.E.D.R.E.A. Année de publication : 1995 Mots-clés : Morvan, opération locale Morvan, agriculture, environnement, exploitation agricole Note de contenu :
Résumé de l'auteur : Le territoire du Parc Naturel Régional du Morvan présente de nombreux atouts écologiques et paysagers à protéger. Ces atouts sont aujourd’hui menacés par une évolution paradoxale des pratiques agricoles : d’un côté des pratiques intensives menaçant directement l’intérêt biologique des milieux prairiaux humides, de l’autre une diminution inquiétante du nombre d’exploitants contribuant directement au développement des friches ou boisements.Les textes communautaires relatifs à l’application de mesures agri-environnementales permettent de répondre à ces problèmes. Aussi, le Parc Naturel Régional du Morvan est à l’origine de la mise en place d’un programme appelé Opération Locale Morvan dans lequel on propose aux agriculteurs (sur la base du volontariat) des pratiques plus respectueuses de l’environnement dans des zones sensibles et présentant un intérêt écologique majeur reconnu. Ainsi, il est prévu un soutien à l’exploitation des prairies para-tourbeuses, la protection de certains cours d’eau répertoriés et une aide à la réexploitation de prairies abandonnées. Une contrepartie financière est accordée chaque année aux éleveurs adhérant à l’opération d’une durée de cinq ans.L’étude réalisée à partir d’enquêtes auprès d’un échantillon représentatif d’éleveurs et d’ouvrages bibliographiques met en évidence les différents systèmes d’exploitations agricoles ayant souscrit à ces nouvelles pratiques, cette différenciation étant réalisée à partir de critères clés revêtant une importance majeure lors de la décision de contractualisation. Une approche des pratiques actuelles dans les zones sensibles est également effectuée.Ce document fait apparaître les motivations des agriculteurs Morvandiaux qui ont choisi d’adopter ces nouvelles mesures sur une partie plus ou moins importante de leur exploitation. On apprécie aussi le degré d’intégration de ces nouvelles pratiques dans la logique de fonctionnement des différents types d’exploitations agricoles déterminés.Ce travail réalisé en début de la mise en place de l’Opération Locale Morvan constitue une première approche des conséquences techniques et économiques (temps de travail, gestion fourragère et rentabilité d’exploitation) sur les exploitations ayant contractualisé. Il s’agit en fait pour une grande partie de résultats obtenus à partir d’estimations émanant des agriculteurs eux-mêmes.Les véritables effets, engendrés par l’application du règlement CEE 2078/92, ne seront réellement chiffrables qu’au terme de la durée de contractualisation.Ce travail apporte donc aussi des propositions pour la mise en place d’un suivi annuel qui permettra d’avoir des éléments de réponse dans cinq ans. Ce suivi se devait d’être fiable et donc basé sur des éléments à recueillir permettant une analyse précise des effets engendrés. Pour cela, a été adoptée la technique du planning dont l’avantage est la capacité à regrouper toutes les informations annuelles relatives aux parcelles concernées sur un seul document. Ce suivi servira à réajuster le cahier des charges (et notamment l’indemnité versée aux éleveurs) dans l’éventualité d’une reconduction de l’opération.Les premières enquêtes de ce suivi annuel ont été réalisées, elles constituent en quelque sorte le 'point 0', c'est-à-dire l'illustration des pratiques actuelles par parcelle sous contrat.Analyse des conséquences techniques et économiques de l'opération locale Morvan sur les exploitations. Mise en place d'un suivi (document annexe) [texte imprimé] / Fabrice Roux, Auteur . - Paris : I.H.E.D.R.E.A., 1995.
Mots-clés : Morvan, opération locale Morvan, agriculture, environnement, exploitation agricole Note de contenu :
Résumé de l'auteur : Le territoire du Parc Naturel Régional du Morvan présente de nombreux atouts écologiques et paysagers à protéger. Ces atouts sont aujourd’hui menacés par une évolution paradoxale des pratiques agricoles : d’un côté des pratiques intensives menaçant directement l’intérêt biologique des milieux prairiaux humides, de l’autre une diminution inquiétante du nombre d’exploitants contribuant directement au développement des friches ou boisements.Les textes communautaires relatifs à l’application de mesures agri-environnementales permettent de répondre à ces problèmes. Aussi, le Parc Naturel Régional du Morvan est à l’origine de la mise en place d’un programme appelé Opération Locale Morvan dans lequel on propose aux agriculteurs (sur la base du volontariat) des pratiques plus respectueuses de l’environnement dans des zones sensibles et présentant un intérêt écologique majeur reconnu. Ainsi, il est prévu un soutien à l’exploitation des prairies para-tourbeuses, la protection de certains cours d’eau répertoriés et une aide à la réexploitation de prairies abandonnées. Une contrepartie financière est accordée chaque année aux éleveurs adhérant à l’opération d’une durée de cinq ans.L’étude réalisée à partir d’enquêtes auprès d’un échantillon représentatif d’éleveurs et d’ouvrages bibliographiques met en évidence les différents systèmes d’exploitations agricoles ayant souscrit à ces nouvelles pratiques, cette différenciation étant réalisée à partir de critères clés revêtant une importance majeure lors de la décision de contractualisation. Une approche des pratiques actuelles dans les zones sensibles est également effectuée.Ce document fait apparaître les motivations des agriculteurs Morvandiaux qui ont choisi d’adopter ces nouvelles mesures sur une partie plus ou moins importante de leur exploitation. On apprécie aussi le degré d’intégration de ces nouvelles pratiques dans la logique de fonctionnement des différents types d’exploitations agricoles déterminés.Ce travail réalisé en début de la mise en place de l’Opération Locale Morvan constitue une première approche des conséquences techniques et économiques (temps de travail, gestion fourragère et rentabilité d’exploitation) sur les exploitations ayant contractualisé. Il s’agit en fait pour une grande partie de résultats obtenus à partir d’estimations émanant des agriculteurs eux-mêmes.Les véritables effets, engendrés par l’application du règlement CEE 2078/92, ne seront réellement chiffrables qu’au terme de la durée de contractualisation.Ce travail apporte donc aussi des propositions pour la mise en place d’un suivi annuel qui permettra d’avoir des éléments de réponse dans cinq ans. Ce suivi se devait d’être fiable et donc basé sur des éléments à recueillir permettant une analyse précise des effets engendrés. Pour cela, a été adoptée la technique du planning dont l’avantage est la capacité à regrouper toutes les informations annuelles relatives aux parcelles concernées sur un seul document. Ce suivi servira à réajuster le cahier des charges (et notamment l’indemnité versée aux éleveurs) dans l’éventualité d’une reconduction de l’opération.Les premières enquêtes de ce suivi annuel ont été réalisées, elles constituent en quelque sorte le 'point 0', c'est-à-dire l'illustration des pratiques actuelles par parcelle sous contrat.Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 2243 631 ROU Etude Centre de documentation Adultes Disponible
Titre : Analyse des conséquences techniques et économiques de l'opération locale Morvan sur les exploitations. Mise en place d'un suivi (document principal) Type de document : texte imprimé Auteurs : Fabrice Roux, Auteur Editeur : Paris : I.H.E.D.R.E.A. Année de publication : 1995 Importance : 80 p Mots-clés : Morvan, opération locale Morvan, agriculture, environnement, exploitation agricole Résumé :
Situation générale du Parc naturel régional et du Morvan - Présentation de l'Opération Locale Morvan, des différents suivis prévus et détermination d'un échantillon d'exploitants - Détermination d'une typologie des exploitations agricoles du Morvan ayant contractualisé - Une intégration et des conséquences variables de l'insertion des mesures agri-environnementales dans les systèmes d'exploitations - Détermination d'un mode de suivi pluriannuel et d'un nouvel échantillon - L'analyse possible des critères retenus et le 'point O'Note de contenu :
Résumé de l'auteur : Le territoire du Parc Naturel Régional du Morvan présente de nombreux atouts écologiques et paysagers à protéger. Ces atouts sont aujourd’hui menacés par une évolution paradoxale des pratiques agricoles : d’un côté des pratiques intensives menaçant directement l’intérêt biologique des milieux prairiaux humides, de l’autre une diminution inquiétante du nombre d’exploitants contribuant directement au développement des friches ou boisements.Les textes communautaires relatifs à l’application de mesures agri-environnementales permettent de répondre à ces problèmes. Aussi, le Parc Naturel Régional du Morvan est à l’origine de la mise en place d’un programme appelé Opération Locale Morvan dans lequel on propose aux agriculteurs (sur la base du volontariat) des pratiques plus respectueuses de l’environnement dans des zones sensibles et présentant un intérêt écologique majeur reconnu. Ainsi, il est prévu un soutien à l’exploitation des prairies para-tourbeuses, la protection de certains cours d’eau répertoriés et une aide à la réexploitation de prairies abandonnées. Une contrepartie financière est accordée chaque année aux éleveurs adhérant à l’opération d’une durée de cinq ans.L’étude réalisée à partir d’enquêtes auprès d’un échantillon représentatif d’éleveurs et d’ouvrages bibliographiques met en évidence les différents systèmes d’exploitations agricoles ayant souscrit à ces nouvelles pratiques, cette différenciation étant réalisée à partir de critères clés revêtant une importance majeure lors de la décision de contractualisation. Une approche des pratiques actuelles dans les zones sensibles est également effectuée.Ce document fait apparaître les motivations des agriculteurs Morvandiaux qui ont choisi d’adopter ces nouvelles mesures sur une partie plus ou moins importante de leur exploitation. On apprécie aussi le degré d’intégration de ces nouvelles pratiques dans la logique de fonctionnement des différents types d’exploitations agricoles déterminés.Ce travail réalisé en début de la mise en place de l’Opération Locale Morvan constitue une première approche des conséquences techniques et économiques (temps de travail, gestion fourragère et rentabilité d’exploitation) sur les exploitations ayant contractualisé. Il s’agit en fait pour une grande partie de résultats obtenus à partir d’estimations émanant des agriculteurs eux-mêmes.Les véritables effets, engendrés par l’application du règlement CEE 2078/92, ne seront réellement chiffrables qu’au terme de la durée de contractualisation.Ce travail apporte donc aussi des propositions pour la mise en place d’un suivi annuel qui permettra d’avoir des éléments de réponse dans cinq ans. Ce suivi se devait d’être fiable et donc basé sur des éléments à recueillir permettant une analyse précise des effets engendrés. Pour cela, a été adoptée la technique du planning dont l’avantage est la capacité à regrouper toutes les informations annuelles relatives aux parcelles concernées sur un seul document. Ce suivi servira à réajuster le cahier des charges (et notamment l’indemnité versée aux éleveurs) dans l’éventualité d’une reconduction de l’opération.Les premières enquêtes de ce suivi annuel ont été réalisées, elles constituent en quelque sorte le 'point 0', c'est-à-dire l'illustration des pratiques actuelles par parcelle sous contrat.Analyse des conséquences techniques et économiques de l'opération locale Morvan sur les exploitations. Mise en place d'un suivi (document principal) [texte imprimé] / Fabrice Roux, Auteur . - Paris : I.H.E.D.R.E.A., 1995 . - 80 p.
Mots-clés : Morvan, opération locale Morvan, agriculture, environnement, exploitation agricole Résumé :
Situation générale du Parc naturel régional et du Morvan - Présentation de l'Opération Locale Morvan, des différents suivis prévus et détermination d'un échantillon d'exploitants - Détermination d'une typologie des exploitations agricoles du Morvan ayant contractualisé - Une intégration et des conséquences variables de l'insertion des mesures agri-environnementales dans les systèmes d'exploitations - Détermination d'un mode de suivi pluriannuel et d'un nouvel échantillon - L'analyse possible des critères retenus et le 'point O'Note de contenu :
Résumé de l'auteur : Le territoire du Parc Naturel Régional du Morvan présente de nombreux atouts écologiques et paysagers à protéger. Ces atouts sont aujourd’hui menacés par une évolution paradoxale des pratiques agricoles : d’un côté des pratiques intensives menaçant directement l’intérêt biologique des milieux prairiaux humides, de l’autre une diminution inquiétante du nombre d’exploitants contribuant directement au développement des friches ou boisements.Les textes communautaires relatifs à l’application de mesures agri-environnementales permettent de répondre à ces problèmes. Aussi, le Parc Naturel Régional du Morvan est à l’origine de la mise en place d’un programme appelé Opération Locale Morvan dans lequel on propose aux agriculteurs (sur la base du volontariat) des pratiques plus respectueuses de l’environnement dans des zones sensibles et présentant un intérêt écologique majeur reconnu. Ainsi, il est prévu un soutien à l’exploitation des prairies para-tourbeuses, la protection de certains cours d’eau répertoriés et une aide à la réexploitation de prairies abandonnées. Une contrepartie financière est accordée chaque année aux éleveurs adhérant à l’opération d’une durée de cinq ans.L’étude réalisée à partir d’enquêtes auprès d’un échantillon représentatif d’éleveurs et d’ouvrages bibliographiques met en évidence les différents systèmes d’exploitations agricoles ayant souscrit à ces nouvelles pratiques, cette différenciation étant réalisée à partir de critères clés revêtant une importance majeure lors de la décision de contractualisation. Une approche des pratiques actuelles dans les zones sensibles est également effectuée.Ce document fait apparaître les motivations des agriculteurs Morvandiaux qui ont choisi d’adopter ces nouvelles mesures sur une partie plus ou moins importante de leur exploitation. On apprécie aussi le degré d’intégration de ces nouvelles pratiques dans la logique de fonctionnement des différents types d’exploitations agricoles déterminés.Ce travail réalisé en début de la mise en place de l’Opération Locale Morvan constitue une première approche des conséquences techniques et économiques (temps de travail, gestion fourragère et rentabilité d’exploitation) sur les exploitations ayant contractualisé. Il s’agit en fait pour une grande partie de résultats obtenus à partir d’estimations émanant des agriculteurs eux-mêmes.Les véritables effets, engendrés par l’application du règlement CEE 2078/92, ne seront réellement chiffrables qu’au terme de la durée de contractualisation.Ce travail apporte donc aussi des propositions pour la mise en place d’un suivi annuel qui permettra d’avoir des éléments de réponse dans cinq ans. Ce suivi se devait d’être fiable et donc basé sur des éléments à recueillir permettant une analyse précise des effets engendrés. Pour cela, a été adoptée la technique du planning dont l’avantage est la capacité à regrouper toutes les informations annuelles relatives aux parcelles concernées sur un seul document. Ce suivi servira à réajuster le cahier des charges (et notamment l’indemnité versée aux éleveurs) dans l’éventualité d’une reconduction de l’opération.Les premières enquêtes de ce suivi annuel ont été réalisées, elles constituent en quelque sorte le 'point 0', c'est-à-dire l'illustration des pratiques actuelles par parcelle sous contrat.Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 2242 631 ROU Ouvrage Centre de documentation Adultes Disponible
Titre : Approche méthodologique de la déprise agricole et de ses conséquences paysagères. Application à une commune de la Nièvre, Saint-Brisson - Annexes (mémoire de fin d'études d'ingénieur agronome) Type de document : texte imprimé Auteurs : Isabelle Le Corre, Auteur Editeur : Rennes : Ecole nationale supérieure agronomique Année de publication : 1995 Mots-clés : Morvan, Saint-Brisson, agriculture, déprise agricole, paysage Note de contenu :
Le phénomène de déprise est ancien en Morvan, massif de moyenne montagne, aux contraintes naturelles fortes. Déjà, les paysages agraires sont marqués par la prolifération des haies hautes, des friches mais surtout des boisements ou des sapins de Noël, nouvelles exploitations des terres agricoles.La baisse et le vieillissement de la population agricole font prévoir une accentuation du sous-entretien de l’espace rural et une fermeture des paysages. Dans cette région à faible densité démographique et à l’habitat dispersé, les possibilités de relations entre maisons sont rares : la progression des formations boisées dans les (dernières) zones de contact visuel engendrera une forte détérioration du cadre de vie des résidents.Conscient de cette situation d’urgence et de la nécessité d’accentuer les politiques de gestion de l’espace et de maîtrise du paysage, le Parc Naturel Régional du Morvan a souhaité se doter d’un outil d’analyse prospective de la déprise et de ses conséquences sur le cadre de vie à une échelle spatiale fine, la commune.Après, une étude bibliographique visant à déterminer quels sont les facteurs, internes ou externes à l’exploitation, qui agissent sur le foncier, une méthode de recueil des données, essentiellement par enquête auprès des exploitants agricoles, et d’analyse des risques de déprise a été élaborée. Parallèlement, une hiérarchie des critères paysagers à prendre en compte a été faite pour noter chaque parcelle lors de sorties sur le terrain et, après la superposition de ces notes, souligner les zones où une végétation basse devrait être maintenue.L’application à la commune de St Brisson (Nièvre), dans le but de tester et d’améliorer la méthodologie, a montré que les données recueillies et l’analyse réalisée ne permettaient qu’une estimation des menaces. Cependant, la traduction sous la forme de cartes thématiques des informations parcellaires, la superposition et la synthèse de ces cartes selon des critères de risques définis mettent effectivement en évidence les zones menacées d’abandon ou de sous-entretien. Le croisement avec la carte des enjeux paysagers permet de souligner que l’évolution du paysage doit être maîtrisée d’urgence. La proposition de solutions pour freiner ou accompagner la déprise, conclusion logique de l’application à la commune de St Brisson, fait percevoir que les mesures existantes sont encore insuffisantes et qu’il faut amorcer une politique d’incitation à l’entretien à un niveau local. Lors de l’enquête ou lors de la restitution auprès des agriculteurs des résultats de cette approche, celle-ci a joué un rôle d’information et a sans doute initié une réflexion sur la nécessité d’une gestion collective de l’espace.Approche méthodologique de la déprise agricole et de ses conséquences paysagères. Application à une commune de la Nièvre, Saint-Brisson - Annexes (mémoire de fin d'études d'ingénieur agronome) [texte imprimé] / Isabelle Le Corre, Auteur . - Rennes : Ecole nationale supérieure agronomique, 1995.
Mots-clés : Morvan, Saint-Brisson, agriculture, déprise agricole, paysage Note de contenu :
Le phénomène de déprise est ancien en Morvan, massif de moyenne montagne, aux contraintes naturelles fortes. Déjà, les paysages agraires sont marqués par la prolifération des haies hautes, des friches mais surtout des boisements ou des sapins de Noël, nouvelles exploitations des terres agricoles.La baisse et le vieillissement de la population agricole font prévoir une accentuation du sous-entretien de l’espace rural et une fermeture des paysages. Dans cette région à faible densité démographique et à l’habitat dispersé, les possibilités de relations entre maisons sont rares : la progression des formations boisées dans les (dernières) zones de contact visuel engendrera une forte détérioration du cadre de vie des résidents.Conscient de cette situation d’urgence et de la nécessité d’accentuer les politiques de gestion de l’espace et de maîtrise du paysage, le Parc Naturel Régional du Morvan a souhaité se doter d’un outil d’analyse prospective de la déprise et de ses conséquences sur le cadre de vie à une échelle spatiale fine, la commune.Après, une étude bibliographique visant à déterminer quels sont les facteurs, internes ou externes à l’exploitation, qui agissent sur le foncier, une méthode de recueil des données, essentiellement par enquête auprès des exploitants agricoles, et d’analyse des risques de déprise a été élaborée. Parallèlement, une hiérarchie des critères paysagers à prendre en compte a été faite pour noter chaque parcelle lors de sorties sur le terrain et, après la superposition de ces notes, souligner les zones où une végétation basse devrait être maintenue.L’application à la commune de St Brisson (Nièvre), dans le but de tester et d’améliorer la méthodologie, a montré que les données recueillies et l’analyse réalisée ne permettaient qu’une estimation des menaces. Cependant, la traduction sous la forme de cartes thématiques des informations parcellaires, la superposition et la synthèse de ces cartes selon des critères de risques définis mettent effectivement en évidence les zones menacées d’abandon ou de sous-entretien. Le croisement avec la carte des enjeux paysagers permet de souligner que l’évolution du paysage doit être maîtrisée d’urgence. La proposition de solutions pour freiner ou accompagner la déprise, conclusion logique de l’application à la commune de St Brisson, fait percevoir que les mesures existantes sont encore insuffisantes et qu’il faut amorcer une politique d’incitation à l’entretien à un niveau local. Lors de l’enquête ou lors de la restitution auprès des agriculteurs des résultats de cette approche, celle-ci a joué un rôle d’information et a sans doute initié une réflexion sur la nécessité d’une gestion collective de l’espace.Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 2226 631 LEC Etude Centre de documentation Adultes Disponible
Titre : Approche méthodologique de la déprise agricole et de ses conséquences paysagères. Application à une commune de la Nièvre, Saint-Brisson - Cartes (mémoire de fin d'études d'ingénieur agronome) Type de document : texte imprimé Auteurs : Isabelle Le Corre, Auteur Editeur : Rennes : Ecole nationale supérieure agronomique Année de publication : 1995 Mots-clés : Morvan, Saint-Brisson, agriculture, déprise agricole, paysage Note de contenu :
Le phénomène de déprise est ancien en Morvan, massif de moyenne montagne, aux contraintes naturelles fortes. Déjà, les paysages agraires sont marqués par la prolifération des haies hautes, des friches mais surtout des boisements ou des sapins de Noël, nouvelles exploitations des terres agricoles.La baisse et le vieillissement de la population agricole font prévoir une accentuation du sous-entretien de l’espace rural et une fermeture des paysages. Dans cette région à faible densité démographique et à l’habitat dispersé, les possibilités de relations entre maisons sont rares : la progression des formations boisées dans les (dernières) zones de contact visuel engendrera une forte détérioration du cadre de vie des résidents.Conscient de cette situation d’urgence et de la nécessité d’accentuer les politiques de gestion de l’espace et de maîtrise du paysage, le Parc Naturel Régional du Morvan a souhaité se doter d’un outil d’analyse prospective de la déprise et de ses conséquences sur le cadre de vie à une échelle spatiale fine, la commune.Après, une étude bibliographique visant à déterminer quels sont les facteurs, internes ou externes à l’exploitation, qui agissent sur le foncier, une méthode de recueil des données, essentiellement par enquête auprès des exploitants agricoles, et d’analyse des risques de déprise a été élaborée. Parallèlement, une hiérarchie des critères paysagers à prendre en compte a été faite pour noter chaque parcelle lors de sorties sur le terrain et, après la superposition de ces notes, souligner les zones où une végétation basse devrait être maintenue.L’application à la commune de St Brisson (Nièvre), dans le but de tester et d’améliorer la méthodologie, a montré que les données recueillies et l’analyse réalisée ne permettaient qu’une estimation des menaces. Cependant, la traduction sous la forme de cartes thématiques des informations parcellaires, la superposition et la synthèse de ces cartes selon des critères de risques définis mettent effectivement en évidence les zones menacées d’abandon ou de sous-entretien. Le croisement avec la carte des enjeux paysagers permet de souligner que l’évolution du paysage doit être maîtrisée d’urgence. La proposition de solutions pour freiner ou accompagner la déprise, conclusion logique de l’application à la commune de St Brisson, fait percevoir que les mesures existantes sont encore insuffisantes et qu’il faut amorcer une politique d’incitation à l’entretien à un niveau local. Lors de l’enquête ou lors de la restitution auprès des agriculteurs des résultats de cette approche, celle-ci a joué un rôle d’information et a sans doute initié une réflexion sur la nécessité d’une gestion collective de l’espace.Approche méthodologique de la déprise agricole et de ses conséquences paysagères. Application à une commune de la Nièvre, Saint-Brisson - Cartes (mémoire de fin d'études d'ingénieur agronome) [texte imprimé] / Isabelle Le Corre, Auteur . - Rennes : Ecole nationale supérieure agronomique, 1995.
Mots-clés : Morvan, Saint-Brisson, agriculture, déprise agricole, paysage Note de contenu :
Le phénomène de déprise est ancien en Morvan, massif de moyenne montagne, aux contraintes naturelles fortes. Déjà, les paysages agraires sont marqués par la prolifération des haies hautes, des friches mais surtout des boisements ou des sapins de Noël, nouvelles exploitations des terres agricoles.La baisse et le vieillissement de la population agricole font prévoir une accentuation du sous-entretien de l’espace rural et une fermeture des paysages. Dans cette région à faible densité démographique et à l’habitat dispersé, les possibilités de relations entre maisons sont rares : la progression des formations boisées dans les (dernières) zones de contact visuel engendrera une forte détérioration du cadre de vie des résidents.Conscient de cette situation d’urgence et de la nécessité d’accentuer les politiques de gestion de l’espace et de maîtrise du paysage, le Parc Naturel Régional du Morvan a souhaité se doter d’un outil d’analyse prospective de la déprise et de ses conséquences sur le cadre de vie à une échelle spatiale fine, la commune.Après, une étude bibliographique visant à déterminer quels sont les facteurs, internes ou externes à l’exploitation, qui agissent sur le foncier, une méthode de recueil des données, essentiellement par enquête auprès des exploitants agricoles, et d’analyse des risques de déprise a été élaborée. Parallèlement, une hiérarchie des critères paysagers à prendre en compte a été faite pour noter chaque parcelle lors de sorties sur le terrain et, après la superposition de ces notes, souligner les zones où une végétation basse devrait être maintenue.L’application à la commune de St Brisson (Nièvre), dans le but de tester et d’améliorer la méthodologie, a montré que les données recueillies et l’analyse réalisée ne permettaient qu’une estimation des menaces. Cependant, la traduction sous la forme de cartes thématiques des informations parcellaires, la superposition et la synthèse de ces cartes selon des critères de risques définis mettent effectivement en évidence les zones menacées d’abandon ou de sous-entretien. Le croisement avec la carte des enjeux paysagers permet de souligner que l’évolution du paysage doit être maîtrisée d’urgence. La proposition de solutions pour freiner ou accompagner la déprise, conclusion logique de l’application à la commune de St Brisson, fait percevoir que les mesures existantes sont encore insuffisantes et qu’il faut amorcer une politique d’incitation à l’entretien à un niveau local. Lors de l’enquête ou lors de la restitution auprès des agriculteurs des résultats de cette approche, celle-ci a joué un rôle d’information et a sans doute initié une réflexion sur la nécessité d’une gestion collective de l’espace.Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 2227 631 LEC Etude Centre de documentation Adultes Disponible
Titre : Approche méthodologique de la déprise agricole et de ses conséquences paysagères. Application à une commune de la Nièvre, Saint-Brisson - Document principal (mémoire de fin d'études d'ingénieur agronome) Type de document : texte imprimé Auteurs : Isabelle Le Corre, Auteur Editeur : Rennes : Ecole nationale supérieure agronomique Année de publication : 1995 Importance : 87 p Mots-clés : Morvan, Saint-Brisson, agriculture, déprise agricole, paysage Résumé :
APPROCHE METHODOLOGIQUE DES RISQUES DE DEPRISE ET DES RISQUES PAYSAGERS - Etude de l'espace communal, paysager et agricole - Analyse des risques de déprise et des risques paysagers.
APPLICATION DE LA METHODOLOGIE A LA COMMUNE DE ST BRISSON (Nièvre) ET PROPOSITIONS DE SOLUTIONS - Etude de l'espace communal, paysager et agricole - Analyse des risques de déprise et des risques paysagers - Propositions de solutions pour limiter la déprise et ses effets.
CRITIQUES ET PROPOSITIONS METHODOLOGIQUES - Critiques et propositions concernant les échelles choisies - Critiques et propositions concernant l'analyse des risques de déprise.Note de contenu :
Le phénomène de déprise est ancien en Morvan, massif de moyenne montagne, aux contraintes naturelles fortes. Déjà, les paysages agraires sont marqués par la prolifération des haies hautes, des friches mais surtout des boisements ou des sapins de Noël, nouvelles exploitations des terres agricoles.La baisse et le vieillissement de la population agricole font prévoir une accentuation du sous-entretien de l’espace rural et une fermeture des paysages. Dans cette région à faible densité démographique et à l’habitat dispersé, les possibilités de relations entre maisons sont rares : la progression des formations boisées dans les (dernières) zones de contact visuel engendrera une forte détérioration du cadre de vie des résidents.Conscient de cette situation d’urgence et de la nécessité d’accentuer les politiques de gestion de l’espace et de maîtrise du paysage, le Parc Naturel Régional du Morvan a souhaité se doter d’un outil d’analyse prospective de la déprise et de ses conséquences sur le cadre de vie à une échelle spatiale fine, la commune.Après, une étude bibliographique visant à déterminer quels sont les facteurs, internes ou externes à l’exploitation, qui agissent sur le foncier, une méthode de recueil des données, essentiellement par enquête auprès des exploitants agricoles, et d’analyse des risques de déprise a été élaborée. Parallèlement, une hiérarchie des critères paysagers à prendre en compte a été faite pour noter chaque parcelle lors de sorties sur le terrain et, après la superposition de ces notes, souligner les zones où une végétation basse devrait être maintenue.L’application à la commune de St Brisson (Nièvre), dans le but de tester et d’améliorer la méthodologie, a montré que les données recueillies et l’analyse réalisée ne permettaient qu’une estimation des menaces. Cependant, la traduction sous la forme de cartes thématiques des informations parcellaires, la superposition et la synthèse de ces cartes selon des critères de risques définis mettent effectivement en évidence les zones menacées d’abandon ou de sous-entretien. Le croisement avec la carte des enjeux paysagers permet de souligner que l’évolution du paysage doit être maîtrisée d’urgence. La proposition de solutions pour freiner ou accompagner la déprise, conclusion logique de l’application à la commune de St Brisson, fait percevoir que les mesures existantes sont encore insuffisantes et qu’il faut amorcer une politique d’incitation à l’entretien à un niveau local. Lors de l’enquête ou lors de la restitution auprès des agriculteurs des résultats de cette approche, celle-ci a joué un rôle d’information et a sans doute initié une réflexion sur la nécessité d’une gestion collective de l’espace.Approche méthodologique de la déprise agricole et de ses conséquences paysagères. Application à une commune de la Nièvre, Saint-Brisson - Document principal (mémoire de fin d'études d'ingénieur agronome) [texte imprimé] / Isabelle Le Corre, Auteur . - Rennes : Ecole nationale supérieure agronomique, 1995 . - 87 p.
Mots-clés : Morvan, Saint-Brisson, agriculture, déprise agricole, paysage Résumé :
APPROCHE METHODOLOGIQUE DES RISQUES DE DEPRISE ET DES RISQUES PAYSAGERS - Etude de l'espace communal, paysager et agricole - Analyse des risques de déprise et des risques paysagers.
APPLICATION DE LA METHODOLOGIE A LA COMMUNE DE ST BRISSON (Nièvre) ET PROPOSITIONS DE SOLUTIONS - Etude de l'espace communal, paysager et agricole - Analyse des risques de déprise et des risques paysagers - Propositions de solutions pour limiter la déprise et ses effets.
CRITIQUES ET PROPOSITIONS METHODOLOGIQUES - Critiques et propositions concernant les échelles choisies - Critiques et propositions concernant l'analyse des risques de déprise.Note de contenu :
Le phénomène de déprise est ancien en Morvan, massif de moyenne montagne, aux contraintes naturelles fortes. Déjà, les paysages agraires sont marqués par la prolifération des haies hautes, des friches mais surtout des boisements ou des sapins de Noël, nouvelles exploitations des terres agricoles.La baisse et le vieillissement de la population agricole font prévoir une accentuation du sous-entretien de l’espace rural et une fermeture des paysages. Dans cette région à faible densité démographique et à l’habitat dispersé, les possibilités de relations entre maisons sont rares : la progression des formations boisées dans les (dernières) zones de contact visuel engendrera une forte détérioration du cadre de vie des résidents.Conscient de cette situation d’urgence et de la nécessité d’accentuer les politiques de gestion de l’espace et de maîtrise du paysage, le Parc Naturel Régional du Morvan a souhaité se doter d’un outil d’analyse prospective de la déprise et de ses conséquences sur le cadre de vie à une échelle spatiale fine, la commune.Après, une étude bibliographique visant à déterminer quels sont les facteurs, internes ou externes à l’exploitation, qui agissent sur le foncier, une méthode de recueil des données, essentiellement par enquête auprès des exploitants agricoles, et d’analyse des risques de déprise a été élaborée. Parallèlement, une hiérarchie des critères paysagers à prendre en compte a été faite pour noter chaque parcelle lors de sorties sur le terrain et, après la superposition de ces notes, souligner les zones où une végétation basse devrait être maintenue.L’application à la commune de St Brisson (Nièvre), dans le but de tester et d’améliorer la méthodologie, a montré que les données recueillies et l’analyse réalisée ne permettaient qu’une estimation des menaces. Cependant, la traduction sous la forme de cartes thématiques des informations parcellaires, la superposition et la synthèse de ces cartes selon des critères de risques définis mettent effectivement en évidence les zones menacées d’abandon ou de sous-entretien. Le croisement avec la carte des enjeux paysagers permet de souligner que l’évolution du paysage doit être maîtrisée d’urgence. La proposition de solutions pour freiner ou accompagner la déprise, conclusion logique de l’application à la commune de St Brisson, fait percevoir que les mesures existantes sont encore insuffisantes et qu’il faut amorcer une politique d’incitation à l’entretien à un niveau local. Lors de l’enquête ou lors de la restitution auprès des agriculteurs des résultats de cette approche, celle-ci a joué un rôle d’information et a sans doute initié une réflexion sur la nécessité d’une gestion collective de l’espace.Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 2225 631 LEC Etude Centre de documentation Adultes Disponible
Titre : Code rural - Code forestier Type de document : texte imprimé Editeur : Ed. Dalloz Année de publication : 2001 Importance : 1991 ISBN/ISSN/EAN : 978-2-247-04323-1 Mots-clés : droit, législation, réglementation, exploitation agricole, santé publique, protection sociale, forêt, aménagement, protection de l'environnement, flore, agriculture, formation Résumé : Ce code aborde successivement les sujets suivants : Aménagement rural – Santé publique vétérinaire et protection des végétaux – Exploitation agricole – Baux ruraux – Organismes professionnels agricoles – Production et marchés – Dispositions sociales – Enseignement, formation et recherche agricoles. Code rural - Code forestier [texte imprimé] . - [S.l.] : Ed. Dalloz, 2001 . - 1991.
ISBN : 978-2-247-04323-1
Mots-clés : droit, législation, réglementation, exploitation agricole, santé publique, protection sociale, forêt, aménagement, protection de l'environnement, flore, agriculture, formation Résumé : Ce code aborde successivement les sujets suivants : Aménagement rural – Santé publique vétérinaire et protection des végétaux – Exploitation agricole – Baux ruraux – Organismes professionnels agricoles – Production et marchés – Dispositions sociales – Enseignement, formation et recherche agricoles. Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 2778 348 DAL Ouvrage Centre de documentation Adultes Disponible
Titre : Conséquence de la déprise agricole : la dynamique de la végétation. Eléments de gestion pour les zones concernées - Anost, commune du Morvan - Type de document : texte imprimé Auteurs : François Orliac, Auteur Editeur : Saint-Brisson : Parc naturel régional du Morvan Année de publication : 1990 Importance : 44 p Mots-clés : parc naturel régional, Morvan, Anost, agriculture, déprise agricole Note de contenu :
Résumé de l'auteur : Une zone d'étude de 102 hectares, globalement homogène quant aux grands facteurs écologiques, a été choisie au sein de la commune d'Anost, elle-même au cœur du massif du Morvan.
Après une présentation des données géographiques et écologiques, les aspects socio-économiques sont appréhendés. Ils démontrent l'importance de l'exode rural depuis la fin du XIXème siècle et l'effondrement du nombre d'exploitants agricoles et des surfaces utilisées par l'agriculture.
Afin d'étudier la dynamique végétale post-culturale, 17 parcelles d'âge d'abandon différents, compris entre 0 et 120 ans, ont été retenues. Plusieurs types de relevés floristiques ont été réalisés afin de traduire l'évolution spatio-temporelle de la végétation. Les relevés ont été complétés par des enquêtes auprès des agriculteurs sur l'historique parcellaire et par des relevés pédologiques.
Les données recueillies ont été traitées par méthodes statistiques (AFC et CAH). Les phénomènes de succession ont été également analysés en terme de richesse spécifique, relation parcelle-environnement parcellaire…
A partir de ces éléments, les facteurs prépondérants dans la dynamique sur la zone considérée ont été distingués. Ainsi, le facteur temps, la composition floristique initiale de la parcelle, l'environnement parcellaire, le facteur humain, le paysage agricole ont une influence majeure dans le déterminisme de la dynamique.
Un schéma d'évolution de la phytocénose post abandon est ensuite proposé. On notera entre autres la rapidité des phénomènes d'évolution, l'individualisation de différentes phases et le rôle déterminant de certaines espèces comme Pteridium aqualinum.
Les analyses pédologiques montrent également une évolution marquée de certaines caractéristiques chimiques du sol en fonction de la succession végétale.
Enfin, la dernière partie du travail, après une analyse des causes d'abandon, présente différentes solutions qui pourraient être engagées afin de gérer les zones concernées. On retiendra la nécessité de résoudre prioritairement les problèmes liés au foncier, mais aussi l'idée qu'une gestion sylvicole des parcelles en friche peut être envisagée.
Conséquence de la déprise agricole : la dynamique de la végétation. Eléments de gestion pour les zones concernées - Anost, commune du Morvan - [texte imprimé] / François Orliac, Auteur . - Saint-Brisson : Parc naturel régional du Morvan, 1990 . - 44 p.
Mots-clés : parc naturel régional, Morvan, Anost, agriculture, déprise agricole Note de contenu :
Résumé de l'auteur : Une zone d'étude de 102 hectares, globalement homogène quant aux grands facteurs écologiques, a été choisie au sein de la commune d'Anost, elle-même au cœur du massif du Morvan.
Après une présentation des données géographiques et écologiques, les aspects socio-économiques sont appréhendés. Ils démontrent l'importance de l'exode rural depuis la fin du XIXème siècle et l'effondrement du nombre d'exploitants agricoles et des surfaces utilisées par l'agriculture.
Afin d'étudier la dynamique végétale post-culturale, 17 parcelles d'âge d'abandon différents, compris entre 0 et 120 ans, ont été retenues. Plusieurs types de relevés floristiques ont été réalisés afin de traduire l'évolution spatio-temporelle de la végétation. Les relevés ont été complétés par des enquêtes auprès des agriculteurs sur l'historique parcellaire et par des relevés pédologiques.
Les données recueillies ont été traitées par méthodes statistiques (AFC et CAH). Les phénomènes de succession ont été également analysés en terme de richesse spécifique, relation parcelle-environnement parcellaire…
A partir de ces éléments, les facteurs prépondérants dans la dynamique sur la zone considérée ont été distingués. Ainsi, le facteur temps, la composition floristique initiale de la parcelle, l'environnement parcellaire, le facteur humain, le paysage agricole ont une influence majeure dans le déterminisme de la dynamique.
Un schéma d'évolution de la phytocénose post abandon est ensuite proposé. On notera entre autres la rapidité des phénomènes d'évolution, l'individualisation de différentes phases et le rôle déterminant de certaines espèces comme Pteridium aqualinum.
Les analyses pédologiques montrent également une évolution marquée de certaines caractéristiques chimiques du sol en fonction de la succession végétale.
Enfin, la dernière partie du travail, après une analyse des causes d'abandon, présente différentes solutions qui pourraient être engagées afin de gérer les zones concernées. On retiendra la nécessité de résoudre prioritairement les problèmes liés au foncier, mais aussi l'idée qu'une gestion sylvicole des parcelles en friche peut être envisagée.
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 3849 631 ORL Etude Centre de documentation Adultes Disponible
Titre : Déprise agricole : étude de la dynamique végétale et éléments de gestion pour les espaces libérés - Anost, commune du Morvan (DEA biologie forestière) Type de document : texte imprimé Auteurs : François Orliac, Auteur Editeur : Université de Nancy Année de publication : 1990 Importance : 44 p. Mots-clés : parc naturel régional, Morvan, Anost, agriculture, déprise agricole Résumé :
Résumé de l'auteur : Une zone d'étude de 102 hectares, globalement homogène quant aux grands facteurs écologiques, a été choisie au sein de la commune d'Anost, elle-même au cœur du massif du Morvan.
Après une présentation des données géographiques et écologiques, les aspects socio-économiques sont appréhendés. Ils démontrent l'importance de l'exode rural depuis la fin du XIXème siècle et l'effondrement du nombre d'exploitants agricoles et des surfaces utilisées par l'agriculture.
Afin d'étudier la dynamique végétale post-culturale, 17 parcelles d'âge d'abandon différents, compris entre 0 et 120 ans, ont été retenues. Plusieurs types de relevés floristiques ont été réalisés afin de traduire l'évolution spatio-temporelle de la végétation. Les relevés ont été complétés par des enquêtes auprès des agriculteurs sur l'historique parcellaire et par des relevés pédologiques.
Les données recueillies ont été traitées par méthodes statistiques (AFC et CAH). Les phénomènes de succession ont été également analysés en terme de richesse spécifique, relation parcelle-environnement parcellaire…
A partir de ces éléments, les facteurs prépondérants dans la dynamique sur la zone considérée ont été distingués. Ainsi, le facteur temps, la composition floristique initiale de la parcelle, l'environnement parcellaire, le facteur humain, le paysage agricole ont une influence majeure dans le déterminisme de la dynamique.
Un schéma d'évolution de la phytocénose post abandon est ensuite proposé. On notera entre autres la rapidité des phénomènes d'évolution, l'individualisation de différentes phases et le rôle déterminant de certaines espèces comme Pteridium aqualinum.
Les analyses pédologiques montrent également une évolution marquée de certaines caractéristiques chimiques du sol en fonction de la succession végétale.
Enfin, la dernière partie du travail, après une analyse des causes d'abandon, présente différentes solutions qui pourraient être engagées afin de gérer les zones concernées. On retiendra la nécessité de résoudre prioritairement les problèmes liés au foncier, mais aussi l'idée qu'une gestion sylvicole des parcelles en friche peut être envisagée.
Déprise agricole : étude de la dynamique végétale et éléments de gestion pour les espaces libérés - Anost, commune du Morvan (DEA biologie forestière) [texte imprimé] / François Orliac, Auteur . - [S.l.] : Université de Nancy, 1990 . - 44 p.
Mots-clés : parc naturel régional, Morvan, Anost, agriculture, déprise agricole Résumé :
Résumé de l'auteur : Une zone d'étude de 102 hectares, globalement homogène quant aux grands facteurs écologiques, a été choisie au sein de la commune d'Anost, elle-même au cœur du massif du Morvan.
Après une présentation des données géographiques et écologiques, les aspects socio-économiques sont appréhendés. Ils démontrent l'importance de l'exode rural depuis la fin du XIXème siècle et l'effondrement du nombre d'exploitants agricoles et des surfaces utilisées par l'agriculture.
Afin d'étudier la dynamique végétale post-culturale, 17 parcelles d'âge d'abandon différents, compris entre 0 et 120 ans, ont été retenues. Plusieurs types de relevés floristiques ont été réalisés afin de traduire l'évolution spatio-temporelle de la végétation. Les relevés ont été complétés par des enquêtes auprès des agriculteurs sur l'historique parcellaire et par des relevés pédologiques.
Les données recueillies ont été traitées par méthodes statistiques (AFC et CAH). Les phénomènes de succession ont été également analysés en terme de richesse spécifique, relation parcelle-environnement parcellaire…
A partir de ces éléments, les facteurs prépondérants dans la dynamique sur la zone considérée ont été distingués. Ainsi, le facteur temps, la composition floristique initiale de la parcelle, l'environnement parcellaire, le facteur humain, le paysage agricole ont une influence majeure dans le déterminisme de la dynamique.
Un schéma d'évolution de la phytocénose post abandon est ensuite proposé. On notera entre autres la rapidité des phénomènes d'évolution, l'individualisation de différentes phases et le rôle déterminant de certaines espèces comme Pteridium aqualinum.
Les analyses pédologiques montrent également une évolution marquée de certaines caractéristiques chimiques du sol en fonction de la succession végétale.
Enfin, la dernière partie du travail, après une analyse des causes d'abandon, présente différentes solutions qui pourraient être engagées afin de gérer les zones concernées. On retiendra la nécessité de résoudre prioritairement les problèmes liés au foncier, mais aussi l'idée qu'une gestion sylvicole des parcelles en friche peut être envisagée.
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 4215 631 ORL Etude Centre de documentation Adultes Disponible
Titre : Enquête communautaire sur la structure des exploitations agricoles en 1967 Titre original : Premiers résultats démographiques (fascicules régionaux) Type de document : texte imprimé Auteurs : Ministère de l'Agriculture, Auteur Editeur : Paris : Ministère de l'agriculture Mots-clés : exploitation agricole, agriculture Résumé : Ce document présente des éléments statistiques sur la structure des exploitations agricoles en 1967, en France, en Bourgogne, puis dans chacun des quatre départements bourguignons. Il s'agit notamment de la répartition des membres de la famille des chefs d'exploitation, de la répartion des chefs d'exploitation selon différents critères. Enquête communautaire sur la structure des exploitations agricoles en 1967 = Premiers résultats démographiques (fascicules régionaux) [texte imprimé] / Ministère de l'Agriculture, Auteur . - Paris : Ministère de l'agriculture, [s.d.].
Mots-clés : exploitation agricole, agriculture Résumé : Ce document présente des éléments statistiques sur la structure des exploitations agricoles en 1967, en France, en Bourgogne, puis dans chacun des quatre départements bourguignons. Il s'agit notamment de la répartition des membres de la famille des chefs d'exploitation, de la répartion des chefs d'exploitation selon différents critères. Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 974 310 MIN Ouvrage Centre de documentation Adultes Disponible
