Titre : | Vladimir Velickovic : L'oeuvre et l'artiste | Type de document : | document projeté ou vidéo | Auteurs : | Catherine Terzieff, Concepteur ; Philippe Kimmerling, Metteur en scène, réalisateur | Editeur : | Paris : Centre National de Documentation Pédagogique | Année de publication : | 1996 | Autre Editeur : | ADAGP | Importance : | 13 mn | Langues : | Français (fre) | Résumé : | Pour Vladimir Velickovic, filmé ici dans son atelier au milieu des toiles, la peinture se trouve profondément ancrée dans l'homme, son histoire propre, mais aussi “l'Histoire avec sa grande hache” qui n'en finit pas d'être en guerre.
Velickovic appartient à une génération qui a grandi avec la violence.
La tâche du peintre ne consiste pas à voiler, filtrer la réalité, mais à la peindre dans sa crudité, sa violence et cela jusque dans ses excès. L'agressivité s'incarne dans les corps et leurs mouvements et la couleur surgit de la toile pour la faire voir.
Les titres des oeuvres “Blessures”, “Torture”, “Chute”, “Crucifixion”, “Descente”... disent clairement ce vertige.
Ce film souligne une pratique picturale singulière et invite le spectateur à s'interroger sur son sens et à la situer. Pareille rage de voir l'invisible et de peindre les viscères, les nerfs, inaugure en effet, le programme de modernité de Velickovick.
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Vladimir Velickovic : L'oeuvre et l'artiste [document projeté ou vidéo] / Catherine Terzieff, Concepteur ; Philippe Kimmerling, Metteur en scène, réalisateur . - Paris : Centre National de Documentation Pédagogique : [S.l.] : ADAGP, 1996 . - 13 mn. Langues : Français ( fre) Résumé : | Pour Vladimir Velickovic, filmé ici dans son atelier au milieu des toiles, la peinture se trouve profondément ancrée dans l'homme, son histoire propre, mais aussi “l'Histoire avec sa grande hache” qui n'en finit pas d'être en guerre.
Velickovic appartient à une génération qui a grandi avec la violence.
La tâche du peintre ne consiste pas à voiler, filtrer la réalité, mais à la peindre dans sa crudité, sa violence et cela jusque dans ses excès. L'agressivité s'incarne dans les corps et leurs mouvements et la couleur surgit de la toile pour la faire voir.
Les titres des oeuvres “Blessures”, “Torture”, “Chute”, “Crucifixion”, “Descente”... disent clairement ce vertige.
Ce film souligne une pratique picturale singulière et invite le spectateur à s'interroger sur son sens et à la situer. Pareille rage de voir l'invisible et de peindre les viscères, les nerfs, inaugure en effet, le programme de modernité de Velickovick.
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