[n° ou bulletin] est un bulletin de / Claude PéquinotTitre : | n° 66 - 35è année, 2008 - Le Morvan dans la Guerre de 1870-1871 | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Liliane Pinard, Auteur | Année de publication : | 2008 | Importance : | 56 p | Présentation : | ill. en coul | Format : | 21 cm | Langues : | Français (fre) | Résumé : | Avallon saccagée, Saulieu occupée, Autun épargnée de justesse grâce à l'armée des Vosges et à Garibaldi : c'est la bordure du Morvan seule qui subit le choc du conflit. Mais frappée par la rigueur et les épidémies de "l'année terrible", sous la menace constante de l'invasion, la population morvandelle est pleinement dans la guerre. Et la mobilisation draine les jeunes hommes vers Metz, Paris, Orléans, le Jura… Guerre perdue, mais gardée en mémoire par ses victimes, ses acteurs : les mobiles de la Nièvre pouvaient-ils oublier la défaite après les épreuves endurées dans le Jura ? les Avallonnais après le pillage de leur ville ? Certes, l'ennemi ne se risqua pas à traverser la forteresse Morvan, ses forêts-refuge, ses petites vallées encaissées : configuration propre à développer le harcèlement de l'envahisseur, ce qui n'eut pas lieu, mais dont la vocation demeurait peut-être pour l'avenir… |
[n° ou bulletin] est un bulletin de / Claude Péquinotn° 66 - 35è année, 2008 - Le Morvan dans la Guerre de 1870-1871 [texte imprimé] / Liliane Pinard, Auteur . - 2008 . - 56 p : ill. en coul ; 21 cm. Langues : Français ( fre) Résumé : | Avallon saccagée, Saulieu occupée, Autun épargnée de justesse grâce à l'armée des Vosges et à Garibaldi : c'est la bordure du Morvan seule qui subit le choc du conflit. Mais frappée par la rigueur et les épidémies de "l'année terrible", sous la menace constante de l'invasion, la population morvandelle est pleinement dans la guerre. Et la mobilisation draine les jeunes hommes vers Metz, Paris, Orléans, le Jura… Guerre perdue, mais gardée en mémoire par ses victimes, ses acteurs : les mobiles de la Nièvre pouvaient-ils oublier la défaite après les épreuves endurées dans le Jura ? les Avallonnais après le pillage de leur ville ? Certes, l'ennemi ne se risqua pas à traverser la forteresse Morvan, ses forêts-refuge, ses petites vallées encaissées : configuration propre à développer le harcèlement de l'envahisseur, ce qui n'eut pas lieu, mais dont la vocation demeurait peut-être pour l'avenir… |
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