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Rapport bibliographique. Protocole de réintroduction de l'écrevisse à pieds blancs (Austropotamobius pallipes) (Master 2. Qualité, Traitement de l'eau et bassin versant). / Aurélia Marquis
Titre : Rapport bibliographique. Protocole de réintroduction de l'écrevisse à pieds blancs (Austropotamobius pallipes) (Master 2. Qualité, Traitement de l'eau et bassin versant). Type de document : texte imprimé Auteurs : Aurélia Marquis, Auteur Editeur : Université de Franche-Comté Année de publication : 2006 Importance : 34 p Mots-clés : qualité des eaux, écrevisse Résumé :
LA FAISABILITE - Le site récepteur est-il adapté ? - Existe-t'il une population donneuse adaptée ? - Existe-t'il des alternatives au prélèvement dans une population donneuse ?
ETAPES PREALABLES ET REINTRODUCTION - Quel sera le sexe ratio ? - Quel sera la répartition des classes d'âge : adultes, juvéniles ? - Quel sera le nombre d'individus réintroduits ? - Quelle est la période la plus propice au repeuplement ? - Comment transporter les écrevisses du site donneur au site récepteur ? - Comment mettre à l'eau les sujets de repeuplement ?
SUIVI POST REINTRODUCTION - Les différentes étapes du suivi - Comment effectuer le suivi.Note de contenu :
Résumé de l'auteur : L’écrevisse Austropotamobius pallipes, dite à pieds blancs, est un indicateur biologique particulièrement sensible des systèmes aquatiques peu perturbés. Cette espèce autochtone en France a vu ses populations régresser de façon drastique depuis l’après guerre. Elle se réfugie aujourd’hui dans les ruisseaux des têtes de bassins référentiels et se cantonne à de courts secteurs.La réintroduction peut être envisagée comme moyen de préservation et de conservation.Ce rapport bibliographique a pour objet de faire la synthèse de toutes les expériences réalisées et de toutes les préconisations en matière de réintroduction. Les exigences écologiques, à la fois fortes et complexes de cette espèce, rendent le succès de l’opération aléatoire. Il faut alors suivre un certain nombre de règles qui peuvent être inscrites dans un protocole.Celui-ci peut se diviser en trois parties : la première étape est la phase de faisabilité, elle porte sur le site récepteur et la population donneuse et vise à sélectionner l’un et l’autre. La deuxième étape consiste à préparer la réintroduction proprement dite. Il s’agit en effet de connaître la « nature » de la population à prélever. Enfin, la phase de suivi clos l’opération de réintroduction. Elle permet de cerner les causes de réussite ou de l’échec du programme et de faire quelques ajustements le cas échéant.Rapport bibliographique. Protocole de réintroduction de l'écrevisse à pieds blancs (Austropotamobius pallipes) (Master 2. Qualité, Traitement de l'eau et bassin versant). [texte imprimé] / Aurélia Marquis, Auteur . - [S.l.] : Université de Franche-Comté, 2006 . - 34 p.
Mots-clés : qualité des eaux, écrevisse Résumé :
LA FAISABILITE - Le site récepteur est-il adapté ? - Existe-t'il une population donneuse adaptée ? - Existe-t'il des alternatives au prélèvement dans une population donneuse ?
ETAPES PREALABLES ET REINTRODUCTION - Quel sera le sexe ratio ? - Quel sera la répartition des classes d'âge : adultes, juvéniles ? - Quel sera le nombre d'individus réintroduits ? - Quelle est la période la plus propice au repeuplement ? - Comment transporter les écrevisses du site donneur au site récepteur ? - Comment mettre à l'eau les sujets de repeuplement ?
SUIVI POST REINTRODUCTION - Les différentes étapes du suivi - Comment effectuer le suivi.Note de contenu :
Résumé de l'auteur : L’écrevisse Austropotamobius pallipes, dite à pieds blancs, est un indicateur biologique particulièrement sensible des systèmes aquatiques peu perturbés. Cette espèce autochtone en France a vu ses populations régresser de façon drastique depuis l’après guerre. Elle se réfugie aujourd’hui dans les ruisseaux des têtes de bassins référentiels et se cantonne à de courts secteurs.La réintroduction peut être envisagée comme moyen de préservation et de conservation.Ce rapport bibliographique a pour objet de faire la synthèse de toutes les expériences réalisées et de toutes les préconisations en matière de réintroduction. Les exigences écologiques, à la fois fortes et complexes de cette espèce, rendent le succès de l’opération aléatoire. Il faut alors suivre un certain nombre de règles qui peuvent être inscrites dans un protocole.Celui-ci peut se diviser en trois parties : la première étape est la phase de faisabilité, elle porte sur le site récepteur et la population donneuse et vise à sélectionner l’un et l’autre. La deuxième étape consiste à préparer la réintroduction proprement dite. Il s’agit en effet de connaître la « nature » de la population à prélever. Enfin, la phase de suivi clos l’opération de réintroduction. Elle permet de cerner les causes de réussite ou de l’échec du programme et de faire quelques ajustements le cas échéant.Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 3756 596-3 MAR Etude Centre de documentation Adultes Disponible Etudes préalables à la réintroduction de l'écrevisse à pieds blancs, Austropotamobius pallipes, par transfert de populations (Master 2. Qualité, traitement de l'eau et bassin versant). / Aurélia Marquis
Titre : Etudes préalables à la réintroduction de l'écrevisse à pieds blancs, Austropotamobius pallipes, par transfert de populations (Master 2. Qualité, traitement de l'eau et bassin versant). Type de document : texte imprimé Auteurs : Aurélia Marquis, Auteur Editeur : Université de Franche-Comté Année de publication : 2006 Importance : 52 p Mots-clés : qualité des eaux, écrevisse Résumé :
CONTEXTE DE L'ETUDE ET PROBLEMATIQUE - Programme LIFE Nature - La disparition des écrevisses et la question de leur réintroduction.
MATERIELS ET METHODES - Qualité physique des cours d'eau des sites récepteurs - Vérification de la qualité biologique des cours d'eau récepteurs (MAG20, IBGN) - Température et physicochimie des cours d'eau - Méthodes d'étude des populations d'écrevisses à pieds blancs.
1ER SITE DE REINTRODUCTION : LE RUISSEAU DE L'ETANG NEUF DANS LE MORVAN - Présentation du site d'étude - Etude du milieu aquatique - Gestion des populations d'écrevisses à pieds blancs de l'Etang Neuf.
2EME SITE DE REINTRODUCTION : LES VURPILLIERES ET LE LHAUT DANS LE HAUT DOUBS - Présentation des sites d'étude - Etude du milieu naturel du Lhaut et des Vurpillières - Gestion des populations d'écrevisses dans le Remoray.Note de contenu :
Résumé de l'auteur : Dans le cadre du programme européen LIFE 'Ruisseaux de têtes de bassin et faune patrimoniale associée', un projet expérimental de réintroduction de l'écrevisse à pieds blancs, Austropotomabius pallipes, espèce en partie disparue des rivières françaises, a été entrepris sur deux cours d'eau en Bourgogne et en Franche-Comté.Depuis 2005, des études se sont succédées à la fois sur les sites pressentis pour la réintroduction mais aussi sur les populations donneuses potentielles. Ces études visent à vérifier la qualité des cours d'eau récepteurs ainsi que l'état des populations d'écrevisses des sites donneurs.Initialement deux sites avaient été pré-sélectionnés pour la réintroduction : le ruisseau de l'Etang Neuf situé au cœur de la Bourgogne dans le Parc naturel régional du Morvan et le ruisseau des Vurpillières situé en Franche-Comté dans le Haut-Doubs au sein de la Réserve naturelle de Remoray.Cependant, la découverte en 2005 de quatre écrevisses à pieds blancs sur le ruisseau de l'Etang Neuf a soulevé des interrogations importantes quant au devenir de l'action de réintroduction sur ce cours d'eau, interrogations qui se sont renforées par les prospections réalisées durant l'été 2006 et qui ont permis de découvrir une population dense sur l'une des bras du cours d'eau.Dès lors, la réintroduction sur ce site a été abandonnée au profit d'un autre cours d'eau situé comme les Vurpillières dans la Réserve naturelle de Remoray : le Lhaut.Ce travail a donc consisté à compléter les données sur les qualités physique, biologique et physico-chimique de l'Etang Neuf, des Vurpillières et du Lhaut et à faire la synthèse de l'ensemble des résultats afin de dégager une qualité globale des cours d'eau récepteurs. Les potentialités d'accueil de ces sites ont donc été confirmées.En parallèle, une recherche sur les populations donneuses a été effectuée. C'est ainsi que les populations du Lizon (39) et du Noëltant (39) ont fait l'objet d'études quantitatives par capture-marquage-recapture et leur linéaire a été précisé afin de s'assurer de la pérennité de la population après l'enlèvement de quelques-uns de leurs individus.Enfin, un protocole de réintroduction et de suivi a été proposé et validé par le Comité Scientifique et Technique durant le mois de septembre 2006. L'opération de réintroduction d'Austropotomobius pallipes devrait se dérouler fin septembre 2006.Etudes préalables à la réintroduction de l'écrevisse à pieds blancs, Austropotamobius pallipes, par transfert de populations (Master 2. Qualité, traitement de l'eau et bassin versant). [texte imprimé] / Aurélia Marquis, Auteur . - [S.l.] : Université de Franche-Comté, 2006 . - 52 p.
Mots-clés : qualité des eaux, écrevisse Résumé :
CONTEXTE DE L'ETUDE ET PROBLEMATIQUE - Programme LIFE Nature - La disparition des écrevisses et la question de leur réintroduction.
MATERIELS ET METHODES - Qualité physique des cours d'eau des sites récepteurs - Vérification de la qualité biologique des cours d'eau récepteurs (MAG20, IBGN) - Température et physicochimie des cours d'eau - Méthodes d'étude des populations d'écrevisses à pieds blancs.
1ER SITE DE REINTRODUCTION : LE RUISSEAU DE L'ETANG NEUF DANS LE MORVAN - Présentation du site d'étude - Etude du milieu aquatique - Gestion des populations d'écrevisses à pieds blancs de l'Etang Neuf.
2EME SITE DE REINTRODUCTION : LES VURPILLIERES ET LE LHAUT DANS LE HAUT DOUBS - Présentation des sites d'étude - Etude du milieu naturel du Lhaut et des Vurpillières - Gestion des populations d'écrevisses dans le Remoray.Note de contenu :
Résumé de l'auteur : Dans le cadre du programme européen LIFE 'Ruisseaux de têtes de bassin et faune patrimoniale associée', un projet expérimental de réintroduction de l'écrevisse à pieds blancs, Austropotomabius pallipes, espèce en partie disparue des rivières françaises, a été entrepris sur deux cours d'eau en Bourgogne et en Franche-Comté.Depuis 2005, des études se sont succédées à la fois sur les sites pressentis pour la réintroduction mais aussi sur les populations donneuses potentielles. Ces études visent à vérifier la qualité des cours d'eau récepteurs ainsi que l'état des populations d'écrevisses des sites donneurs.Initialement deux sites avaient été pré-sélectionnés pour la réintroduction : le ruisseau de l'Etang Neuf situé au cœur de la Bourgogne dans le Parc naturel régional du Morvan et le ruisseau des Vurpillières situé en Franche-Comté dans le Haut-Doubs au sein de la Réserve naturelle de Remoray.Cependant, la découverte en 2005 de quatre écrevisses à pieds blancs sur le ruisseau de l'Etang Neuf a soulevé des interrogations importantes quant au devenir de l'action de réintroduction sur ce cours d'eau, interrogations qui se sont renforées par les prospections réalisées durant l'été 2006 et qui ont permis de découvrir une population dense sur l'une des bras du cours d'eau.Dès lors, la réintroduction sur ce site a été abandonnée au profit d'un autre cours d'eau situé comme les Vurpillières dans la Réserve naturelle de Remoray : le Lhaut.Ce travail a donc consisté à compléter les données sur les qualités physique, biologique et physico-chimique de l'Etang Neuf, des Vurpillières et du Lhaut et à faire la synthèse de l'ensemble des résultats afin de dégager une qualité globale des cours d'eau récepteurs. Les potentialités d'accueil de ces sites ont donc été confirmées.En parallèle, une recherche sur les populations donneuses a été effectuée. C'est ainsi que les populations du Lizon (39) et du Noëltant (39) ont fait l'objet d'études quantitatives par capture-marquage-recapture et leur linéaire a été précisé afin de s'assurer de la pérennité de la population après l'enlèvement de quelques-uns de leurs individus.Enfin, un protocole de réintroduction et de suivi a été proposé et validé par le Comité Scientifique et Technique durant le mois de septembre 2006. L'opération de réintroduction d'Austropotomobius pallipes devrait se dérouler fin septembre 2006.Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 3755 595-3 MAR Etude Centre de documentation Adultes Disponible Suivi de la population nicheuse de Bécasse des Bois (Scolopax rusticolas) dans le Morvan / Mathieu Rosain
Titre : Suivi de la population nicheuse de Bécasse des Bois (Scolopax rusticolas) dans le Morvan : Mémoire licence professionnelle des métiers du diagnostic, de la gestion et de la protection des milieux naturels Type de document : texte imprimé Auteurs : Mathieu Rosain, Auteur Editeur : Université de Franche-Comté Année de publication : 2010 Autre Editeur : Saint-Brisson : Parc naturel régional du Morvan Importance : 21 p Langues : Français (fre) Mots-clés : oiseau, bécasse des bois, Morvan Note de contenu :
Résumé de l'auteur : Le Parc naturel régional du Morvan et les treize structures partenaires ont mis en place, à partir de 2006, le programme "Bécasse en Morvan". Face aux nombreuses menaces qui pèsent sur l'espèce, cette étude a pour but de faire un état des lieux de la population nicheuse morvandelle et de réaliser une surveillance des effectifs. En effet le Morvan est une zone d'importance régionale pour la population nicheuse de Bécasse des Bois. Cette étude a permis de rassembler les différentes structures régionales de l'environnement sur les 281 400 hectares du Parc. L'objectif premier de ce programme est de réaliser un suivi et de cartographier la répartition et l'abondance de la population nicheuse du Morvan en suivant le protocole national de l'ONCFS (Office National de la Chasse et de la Faune Sauvage). Une méthode semi-quantitative de type IPA (Indice ponctuel d'abondance)a été appliquée du 15 mai au 30 juin. Le comptable a été effectué sur 167 carrés "échantillon" divisés en trois périodes selon leur altitude. Ces données collectées depuis 2006 serviront à établir l'état de la population nicheuse et d'identifier les zones d'habitat favorables à l'installation des couveuses. Le comptage 2010, comparé à celui de 2006, a permis de déduire une évolution stable de la population nicheuse ainsi que l'identification de trente sites majeurs de reproduction. Reste donc à ce jour à répondre au dernier objectif du programme : caractériser un type d'habitat forestier favorable à l'espèce dans le Morvan.Suivi de la population nicheuse de Bécasse des Bois (Scolopax rusticolas) dans le Morvan : Mémoire licence professionnelle des métiers du diagnostic, de la gestion et de la protection des milieux naturels [texte imprimé] / Mathieu Rosain, Auteur . - [S.l.] : Université de Franche-Comté : Saint-Brisson : Parc naturel régional du Morvan, 2010 . - 21 p.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : oiseau, bécasse des bois, Morvan Note de contenu :
Résumé de l'auteur : Le Parc naturel régional du Morvan et les treize structures partenaires ont mis en place, à partir de 2006, le programme "Bécasse en Morvan". Face aux nombreuses menaces qui pèsent sur l'espèce, cette étude a pour but de faire un état des lieux de la population nicheuse morvandelle et de réaliser une surveillance des effectifs. En effet le Morvan est une zone d'importance régionale pour la population nicheuse de Bécasse des Bois. Cette étude a permis de rassembler les différentes structures régionales de l'environnement sur les 281 400 hectares du Parc. L'objectif premier de ce programme est de réaliser un suivi et de cartographier la répartition et l'abondance de la population nicheuse du Morvan en suivant le protocole national de l'ONCFS (Office National de la Chasse et de la Faune Sauvage). Une méthode semi-quantitative de type IPA (Indice ponctuel d'abondance)a été appliquée du 15 mai au 30 juin. Le comptable a été effectué sur 167 carrés "échantillon" divisés en trois périodes selon leur altitude. Ces données collectées depuis 2006 serviront à établir l'état de la population nicheuse et d'identifier les zones d'habitat favorables à l'installation des couveuses. Le comptage 2010, comparé à celui de 2006, a permis de déduire une évolution stable de la population nicheuse ainsi que l'identification de trente sites majeurs de reproduction. Reste donc à ce jour à répondre au dernier objectif du programme : caractériser un type d'habitat forestier favorable à l'espèce dans le Morvan.Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 4223 598 ROS Etude Centre de documentation Adultes Disponible